-
Une tristesse noire lui embrumait la poitrine. Les femmes et les hommes étaient stupides et laids, et leur vie absurde. A quoi bon travailler, pédaler, manger, vivre ? La nuit après le jour ? et le jour après la nuit, et toujours, et encore, et au bout mourir, pourquoi mourir ? Pourquoi...
-
Bien sûr... Il n’y a qu’à vivre... C’est ce que nous faisons tous, c’est ce que tu fais d’habitude. Mais il suffit d’un instant... Tu es assis là, sur une pierre chaude ou le sable de la plage, ou sur le bois poli de la chaise où tu t’assieds jour après jour pour travailler....
-
<!-- [if gte mso 9]> <o:OfficeDocumentSettings> <o:RelyOnVML/> <o:AllowPNG/> </o:OfficeDocumentSettings> <![endif]--><!-- [if gte mso 9]> <w:WordDocument> <w:View>Normal</w:View> <w:Zoom>0</w:Zoom> <w:TrackMoves/> <w:TrackFormatting/> <w:HyphenationZone>21</w:HyphenationZone>...
-
...lâche et sans consistance. J’appartiens à cette espèce d’individus répugnants qui mènent une existence irréprochable pour ne pas exposer un principe dans les fondrières de leur conscience. Je me suis fait, pour mon plaisir, une certaine idée de l’homme et, au lieu de la vérifier sur...
-
Le langage n'est pas la vérité. Il est notre manière d'exister dans l'univers.
-
Il est plus facile de mourir que d’aimer, c’est pourquoi je me donne le mal de vivre.
-
Vous me dégoûtez tous avec votre bonheur ! Avec votre vie qu’il faut aimer coûte que coûte. On dirait des chiens qui lèchent tout ce qu’ils trouvent.
-
Mourir, mourir… Mourir ce n'est rien. Commence donc par vivre. C'est moins drôle et c'est plus long.
-
Pourquoi prendre au sérieux une existence dont, de toute façon, nous ne sortirons pas vivants ?
-
Je connais une vieille blague. C’est deux petites vieilles dans un hôtel pour troisième âge des Catskills. Il y en a une qui fait : « Oh, dis donc, ce qu’on mange ici, c’est vraiment pas bon ». Et l’autre dit : « Oui, et en plus, les portions sont minuscules ». C’est un peu comme...